English first but en Français un peu plus bas!
Our goal:
We are importing 15 breeding Angora goats from Le Mohair du Pays de Corlay in Brittany, France to our farm in Scotland. We have selected 10 females (Ukraine, Ushuaia, Umbrella, Usiris, Ultrabelle, Toupie, Traviata, Sangria, Saturne and Salsa) and 5 males (Udo, Uzel, Timon, Tahiti and Tupai) from one of the best French breeder who has exported all over Europe before. Angoras are a rare breed in the UK with only 250 breeding males and 650 breeding females. On top of that a lot of breeders have retired and are planning to retire in the next 5 years, this means numbers will dwindle even more so we are in desperate need of new bloodlines to keep the breed alive.
How did we get here?
Owning Angora goats was a life-long dream of ours, we made it a reality in 2020 and now have 30 of them on the farm. We are entirely no-kill so we keep them exclusively for their fleeces from which we make yarn and (soon) ready to wear clothing.
Brexit has made our life more difficult but we’re just about ready for the goats to travel, and here is where we need you. We have paid 50% of all the costs so far (both animals, vaccines and transport) and we are looking for help with the rest of the funds. We have prepared great woolly rewards for you or you can “just” donate and know that we will forever be grateful (and we’ll post plenty photos of the new goats on our social media!)
Goats everywhere!
So what happens once we have new goats? First off it means plenty babies in the spring, which is always great. But it also means more mohair, more yarn, and more lovely knitted clothing. For us it also means achieving our dream of farming full time a little bit quicker. Both Andrew and I still work full time outside the farm at the moment, which is hectic at time, any help to even go part time would be amazing.
And then long term, it’s the same thing we do every night (and day), try to take over the world, one goat at a time. First they’re everywhere on the farm, then we invade Scotland, then the whole world. But shhh! Don’t tell anyone, they’ll never see us coming!
Le but:
Nous importons 15 chèvres du Mohair du Pays de Corlay en Bretagne jusqu'a notre ferme en Ecosse. Nous avons selectionnés 10 femelles (Ukraine, Ushuaia, Umbrella, Usiris, Ultrabelle, Toupie, Traviata, Sangria, Saturne et Salsa) et 5 boucs (Udo, Uzel, Timon, Tahiti et Tupai). Les chèvres Angora sont très rare au Royaume-Uni, il y a moins de 250 boucs et 650 chèvres pour tout le pays. Si nous ajoutons a ca le fait que beaucoup d'éleveurs sont partis ou vont partir a la retraite dans les 5 prochaines années nous avons désespérément besoin de nouveaux animaux pour que la race puisse survivre.
Comment en sommes-nous arrivés là?
Cela fait longtemps que nous rêvions d'avoir des chèvres, et nous avons enfin pu nous lancer en 2020, nous en avons maintenant 30! Nous les élevons exclusivement pour leur toison et entièrement sans-abattage, à partir de laquelle nous fabriquons de la laine et (bientôt) des vêtements et accessoires prêts à porter.
Le Brexit nous a bien compliqué la vie, mais nous sommes presque au bout des démarches administratives, et c'est là que nous avons besoin de vous. Nous avons payé 50% de tous les coûts jusqu'à présent (les animaux, les vaccins et le transport) et nous cherchons de l'aide pour le reste. Nous avons préparé de super cadeaux en laine pour remercier ou vous pouvez "simplement" faire un don. Quoi qu’il arrive nous vous serons éternellement reconnaissants (et nous publierons pleins de photos des nouvelles chèvres sur nos réseaux sociaux!)
Des chèvres partout!
Que se passe-t-il une fois que nous avons de nouvelles chèvres? Tout d'abord, cela signifie qu'il y aura pleins de naissances au printemps, et c’est toujours magique. Mais cela signifie aussi plus de mohair, plus de laine et plus de vêtements tricotés. Pour nous, cela signifie aussi que nous réalisons notre rêve d'être agriculteurs à plein temps un peu plus rapidement. Andrew et moi travaillons toujours à temps plein en dehors de la ferme, ce qui est parfois très prenant, et toute aide pour passer ne serait ce qu’à temps partiel serait formidable.
Et puis à long terme, c'est la même chose que nous faisons tous les soirs (et tous les jours), essayer de conquérir le monde, une chèvre à la fois. D'abord, elles sont partout à la ferme, puis nous envahissons l'Écosse, puis le monde entier. Mais chut! Ne le dites à personne, ils ne nous verront jamais venir!